Projet H2020 MEDIRAD

L’IUCT-Oncopole est partenaire d’un projet de recherche Horizon 2020.


 

Coordonné par l’Institut européen de recherche en imagerie biomédicale (EIBIR, Autriche), le projet MEDIRAD s’articule autour d’un consortium de 33 partenaires représentant 14 pays européens.

Ce projet ambitionne d’explorer des effets de l’exposition aux faibles doses  de radioactivité. Parmi les applications médicales concernées, figure le cas de l’utilisation de l’iode 131 pour le  traitement des cancers de la thyroïde (WP3 - coordon- nateur : Dr G. Flux). L’équipe 15 du CRCT (responsable : Dr M. Bardiès) est impliquée dans ce projet (axe dosimétrie) et l’IUCT-Oncopole est le seul établissement français à participer à la recherche clinique (coordonnateur : Pr F. Courbon).

À terme, ce projet H2020 améliorera les fondements scientifiques et la pratique de la radioprotection en médecine, avec l’ambition de  prévenir les risques associés aux expositions répétées à de faibles doses d’irradiation (ex: risques cardiovasculaires suite à un traitement par radiothérapie d’un cancer du sein / risques sur le long terme des traitements de tomographie chez les enfants et les adolescents, etc.).

Coordonné par l’Institut européen de recherche en imagerie biomédicale (EIBIR, Autriche), le projet MEDIRAD s’articule autour d’un consortium de 33 partenaires  représentant 14 pays européens. Ce projet ambitionne d’explorer des effets de l’exposition aux faibles doses  de radioactivité. Parmi les applications médicales concernées, figure le cas de l’utilisation de l’iode 131 pour le  traitement des cancers de la thyroïde (WP3 - coordon- nateur : Dr G. Flux).

L’équipe 15 du CRCT (responsable : Dr M. Bardiès) est impliquée dans ce projet (axe dosimétrie) et l’IUCT-Oncopole est le seul établissement français à participer à la recherche clinique (coordonnateur : Pr F. Courbon). À terme, ce projet H2020 améliorera les fondements scientifiques et la pratique de la radioprotection en médecine, avec l’ambition de  prévenir les risques associés aux expositions répétées à de faibles doses d’irradiation (ex: risques cardiovasculaires suite à un traitement par radiothérapie d’un cancer du sein / risques sur le long terme des traitements de tomographie chez les enfants et les adolescents, etc.).